Et quel genre de voisin* êtes-vous?
Paru
02.08.2022
Êtes-vous plutôt distant(e), recherchez-vous l'échange avec vos voisins* ou est-ce important pour vous que vous partagiez les mêmes valeurs? Découvrez quel type de voisin vous êtes.
La grande étude de voisinage du GDI a mis en évidence quatre types de voisinage. Dans quel type te reconnais-tu?
Les voisins qui tissent des liens
14% des gens souhaitent un voisinage homogène et harmonieux où cultiver des relations amicales, presque comme dans une grande famille.
Pour eux, les contacts étroits et la solidarité vont autant de soi que les activités communautaires et le soutien mutuel au quotidien.
Les voisins distants
47% des gens – soit la catégorie la plus nombreuse – privilégient des rapports distanciés, la discrétion
et l’indépendance pour leurs rapports de voisinage.
Ils ne souhaitent ni être dérangés ni être une charge. Lorsqu’ils ont besoin de quelque chose, ils se débrouillent par eux-mêmes. Mais ils sont présents en cas d’urgence.
Les voisins attachés aux valeurs
10% des gens souhaitent vivre au milieu de personnes qui leur ressemblent, avec qui ils partagent des valeurs et des opinions communes.
Plutôt que de cultiver des relations étroites, ils souhaitent maintenir une certaine distance et traiter autrui – et être traités – avec égard. S’ils sont prêts à rendre service, des échanges occasionnels leur suffisent au quotidien.
Les voisins en quête d'inspiration
Pour 30% des gens, la tolérance et les rencontres stimulantes sont des points importants.
Ils apprécient les actions collectives porteuses de sens et la diversité, et s’efforcent d’élargir leur horizon.
Nouvelle étude du GDI sur le voisinage suisse
En tant que détaillant, Migros est pour beaucoup de gens un lieu important dans le voisinage – et un bon voisinage lui tient donc à cœur. C’est pourquoi le Pour-cent culturel Migros a commandé la grande étude sur le voisinage en Suisse. Les résultats de celle-ci ont conforté Engagement Migros dans son idée de lancer l’#initiativevoisinage, qui doit contribuer à un bon voisinage. Car même les relations superficielles et distantes ont besoin d’être cultivées de temps en temps. Ainsi à l’avenir aussi, on pourra compter sur ses voisines et voisins en cas de petites ou de grandes urgences.
Étude du GDI «Salut les voisins/nes»
Illustration: illumueller.ch
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