Les manipulations d’images sont omniprésentes sur la toile - et ne se limitent pas, loin s’en faut, à d’amusants filtres Instagram. Parmi les fakes, on distingue les «cheap fakes» et les «deep fakes». Alors que les deep fakes font appel à des logiciels sophistiqués, les cheap fakes sont technologiquement moins élaborés. Ils consistent par exemple à placer des images dans le mauvais contexte, afin de diffuser des informations erronées. Le projet «From print to pixel», soutenu par le Fonds pionnier Migros, encourage une approche plus critique des médias. Il s’agit notamment d’ateliers où l’on apprend à mieux reconnaître les images trompeuses.
Faites le test et cliquez sur les images ci-dessous. Sont-elles fausses ou réelles? Décidez vous-même, en votant! La solution vous est donnée à la fin, avec des conseils pour mieux reconnaître les fakes.
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